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Chanson (I - début d'Anabase)

Il naissait un poulain sous les feuilles de bronze. Un homme mit des baies amères dans nos mains. Étranger. Qui passait. Et voici qu'il est bruit d'autres provinces à mon gré... « Je vous salue, ma fille, sous le plus grand des arbres de l'année. »
 
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Car le soleil entre au Lion et l'Étranger a mis son doigt dans la bouche des morts. Étranger. Qui riait. Et nous parle d'une herbe. Ah ! tant de souffles aux provinces ! Qu'il est d'aisance dans nos voies ! que la trompette m'est délice, et la plume savante au scandale de l'aile !... « Mon âme, grande fille, vous aviez vos façons qui ne sont pas les nôtres. »
 
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Il naquit un poulain sous les feuilles de bronze. Un homme mit ses baies amères dans nos mains. Étranger. Qui passait. Et voici d'un grand bruit dans un arbre de bronze. Bitume et roses ; don du chant ! Tonnerre et flûtes dans les chambres ! Ah ! tant d'aisances dans nos voies, ah ! tant d'histoires à l'année, et l'Étranger à ses façons par les chemins de toute la terre !... « Je vous salue, ma fille, sous la plus belle robe de l'année. »
 
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