Épilogue (traduzione in Spagnolo)
Francese
Francese
A
A
Épilogue
Le cœur content, je suis monté sur la montagne
D’où l’on peut contempler la ville en son ampleur,
Hôpital, lupanars, purgatoire, enfer, bagne,
Où toute énormité fleurit comme une fleur.
Tu sais bien, ô Satan, patron de ma détresse,
Que je n’allais pas là pour répandre un vain pleur ;
Mais comme un vieux paillard d’une vieille maîtresse,
Je voulais m’enivrer de l’énorme catin
Dont le charme infernal me rajeunit sans cesse.
Que tu dormes encor dans les draps du matin,
Lourde, obscure, enrhumée, ou que tu te pavanes
Dans les voiles du soir passementés d’or fin,
Je t’aime, ô capitale infâme ! Courtisanes
Et bandits, tels souvent vous offrez des plaisirs
Que ne comprennent pas les vulgaires profanes.
traduzione in SpagnoloSpagnolo

Epílogo
A la montaña he subido, satisfecho el corazón.
En su amplitud, desde allí, puede verse la ciudad:
un purgatorio, un infierno, burdel, hospital, prisión.
Florece como una flor allí toda enormidad.
Tú ya sabes, ¡oh Satán, patrón de mi alma afligida,
que yo no subí a verter lágrimas de vanidad.
Como el viejo libertino busca a la vieja querida,
busqué a la enorme ramera que me embriaga como un vino,
que con su encanto infernal rejuvenece mi vida.
Ya entre las sábanas duermas de tu lecho matutino,
de pesadez, de catarro, de sombra, o ya te engalanes
con los velos de la tarde recamados de oro fino,
te amo, capital infame. Vosotras, ¡oh cortesanas!,
y vosotros, ¡oh bandidos!, brindáis a veces placeres
que nunca comprende el necio vulgo de gentes profanas.
Grazie! ❤ | ![]() | ![]() |
Charles Baudelaire: 3 più popolari
1. | Enivrez-vous |
2. | Les Litanies de Satan |
3. | L'albatros |
Commenti fatti
Music Tales
Read about music throughout history
Tous droits réservés © Christian Guernes (pour les traductions en français, sauf indication contraire ; lien vers le source, indication du commentaire,etc.)